Assassin’s Creed – Les derniers descendants, Matthew J. Kirby (Bayard)

Matthew J. Kirby part à la rencontre des adolescents, des assassins et des templiers pour une partie de l’histoire américaine à New York.

Un descendant jeune et intrépide

Owen est un adolescent, lycéen, qui a perdu son meilleur ami depuis que son père n’est plus. Il est décédé suite à une maladie lors de son emprisonnement. Il est accusé d’avoir cambriolé une banque puis tué l’un des gardiens. Owen souhaite apprendre ce qu’il s’est réellement cette nuit-là, car il croit en son innocence.

L’adolescent ne voit qu’un seul moyen pour connaître la vérité : entrer dans l’Animus. Il s’agit d’une machine permettant d’explorer le passé de ses ancêtres, grâce à quelques gouttes de son sang, de son ADN et de son phénotype. La démocratisation de cette console de jeu est en cours, mais le public commence seulement à avoir accès à cet engin hors de prix. Pourtant, Monroe, l’informaticien du lycée, en possède une et il est d’accord pour qu’Owen tente son expérience à la nuit tombée.

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Une multiculture sans faute

Matthew J. Kirby est, d’une part, un auteur de roman historique. Il aime trouver tous les détails d’un élément historique qui a fait changer le cours de l’Histoire d’une ville, d’un pays. Il est, d’autre part, un auteur de young adult. Cela fait des années que l’auteur écrit pour son jeune public. Kirby est malheureusement trop peu traduit en France. Cela va peut-être changer maintenant.

Ubisoft a engagé Matthew J. Kirby afin de rapprocher les adolescents de la série Assassin’s Creed. Les jeux vidéo sont relativement violents pour les jeunes ados, mais ce premier livre de la saga pourrait ouvrir le marché à l’éditeur. Que ce soit pour les bandes dessinées, ou pour les jeux vidéo. Une merveilleuse ouverture et diffusion se propage.

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Les éditions Bayard ont choisi de s’allier à la série Assassin’s Creed, Ubisoft et Matthew J. Kirby. La traduction d’Anath Riveline a une plume sobre, ni trop facile ni trop compliquée, et voguant, vous transportant au travers les siècles et les aventures sans l’ombre d’un doute. Elle est d’une typographie pleine de puissance. Le travail fourni pour la publication de ce roman est majestueuse pour la couverture en relief, pour les rabats mélangeant Ubisoft et l’histoire du roman ou pour la mise en page sur chacune des pages.

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