Les chroniques P.E.R. – Le commencement, J-F Deboulle

En cette fin de journée, le ciel est d’un magnifique vert d’eau. Personne n’a jamais imaginé voir le ciel de cette couleur, mais c’était avant. Dans la journée, il prend un léger violet. Tout ce phénomène est dû à la présence de cuivre dans l’air, ce qui a grandement augmenté l’opacité du Soleil et réduit les températures. A tel point que nous autres, les humains, avons dû nous déplacer vers l’équateur et abandonner les pôles.

Bien sûr, la société a émis son droit d’être alors seules les personnes les plus riches et offrant un service peuvent réellement habitées auprès de l’équateur. Nous-autres devons nous contenter des zones survivantes autour. Nous avons mis longtemps à comprendre le phénomène d’apport de cuivre. Un jour, nous avons reçu un flash spécial. Les gouvernements ont divulgués, après avoir caché l’information, la présence d’objets non identifiés et d’une forme de vie intelligente en satellite autour de la Terre.

Des messages de paix étaient diffusés, puis il y a eu un moment de non-échange. Suite à cela, des attaques envahisseurs ont eu lieu. Les armées des divers pays se sont assemblées et ont réussi à les repousser en moins de deux mois. Nous nous sentions tous forts de cette victoire, malgré nos pertes. Mais ce n’était pas le cas. Les envahisseurs n’étaient qu’une diversion pour installer des P.E.R. – des Portes d’Extinction de Races – partout sur Terre. Ces portes permettent aux autres univers d’accéder à la Terre, nous attaquer, se nourrir de nous autres humains… Les objets non-identifiés sont repartis en nous laissant ce cadeau empoisonné et nous essayons de survivre au jour le jour.

Avant, j’étais un homme avec une famille. Maintenant, je me fais appeler Phoenix et je me bats contre l’injustice. Dernièrement, je me suis attaqué à un pseudo-colonel qui a tenté d’imposer une dictature avec quelques-uns de ses soldats. Lorsqu’ils s’en sont pris à une petite fille orpheline, je me suis interposé. Certains de mes camarades rebelles sont tombés. Mon sabre japonais a achevé le dictateur et quelques soldats. Pourtant sans lui, je serais mort depuis plusieurs mois. Les créatures ne cessent de nous attaquer et vivre devient de plus en plus complexe, sans compter le manque de nourriture et de quoi se réchauffer la nuit.

J-F Deboulle refuse de se décrire comme un écrivain, car il n’a pas suivi de cursus dans ce sens. Il a une préférence pour inventeur d’histoires. Les inventions ont tellement révolutionné le monde, que l’on peut difficilement lui en vouloir. De nature solitaire, il aime observer chaque instant, chaque relation, chaque comportement, chaque détail. Il a tout emmagasiné pendant des années, et maintenant, il restitue tout avec son imagination dans sa série Les chroniques P.E.R.. Dans ce tome, vous ne trouverez que le début, le commencement de l’aventure. Vous irez tout de même courir sur pleins de rebondissements et vous pourrez également imaginer ce monde envoûtant. J’ai hâte de connaître la suite et de continuer à lire les épopées de Phoenix et Léopold.

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