Le cercle, Edwige Ivy (IS Edition)

chronique Le cercle Edwige Ivy IS Edition service presse simplement steampunkL’époque victorienne voit un grand nombre d’évènements se produire en Angleterre. Le cercle s’en prend à toutes les personnes et entreprises qui font révolutionner.

Carolyne est une enfant de famille importante. Dans cette époque où la révolution industrielle commence à peine à émerger. Carolyne a la grande chance d’être la fille d’un grand inventeur. Son père travaille dans la dentelle et cherche un moyen pour construire les robes plus rapidement. Il insiste pour que ces employés soient éduqués et ceux-ci ne peuvent accéder à un emploi qu’une fois qu’ils sont atteints un certain age. Il a appris tous ces principes et la mécanique à sa fille aînée.

Alors que Carolyne a huit ans, elle passe son été au bord de la plage. Elle n’arrive pas à s’ennuyer davantage. D’un seul coup, un garçon s’approche et s’intéresse à la construction de bateaux. Charles rêve de pouvoir bâtir un bateau qui consomme moins de pétrole, qui soit le plus résistant et qui permet de sauver toutes les vies, en cas de problèmes. Carolyne et Charles se rencontrent sur la plage lors de leurs vacances. Leurs servants laissent la rencontre se produire pour ravir le temps. Carolyne aide Charles à parfaire son bateau au fur et à mesure des années, tout en assistant son père à trouver les malfrats qui trafiquent la machine fabricant les robes en dentelle et en faisant face à sa mère qui tente de la faire entrée dans la société, comme il se doit.

Edwige Ivy a suivi un cursus classique puis, s’est orientée vers les arts. Un événement personnel lui donne envie de s’essayer à l’écriture pour se revitaliser. Le cercle est sa dernière publication. Plusieurs nominations et prix ont succédé ces dernières années. L’autrice sait totalement vous prendre dans ses filets et vous faire revivre vos amours d’enfance. Vous savez, votre tout premier amour, celui pour lequel (ou laquelle) vous avez directement pensé qu’il s’agissait du grand amour, le seul, l’unique. Sous certains caractères (et si vous transposez en films), il me fait visualiser l’histoire de Barnum et Charity (dans The Greatest Showman).

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